Quand je te regarde, j'ai le cœur qui palpite, papillon de brume.
J'exulte et fracasse ma tête dans les airs, tu me rends aphrodite et spiritueux, gourmandise colorée.
Je descends la pente à vitesse croissante, poudreuse divine.
Tu refais le papier-peint de mon hypophyse.
A grand coups de marteau, tu lèves mes inhibitions, je te chanterai l'amour pour toujours.
Les tâches d'encre s'évaporent, viennent les chenilles sur le grillage.
Ma vie est un long paysage peuplé de contrées sauvages, tu rends le temps plus long et le bonheur plus fleuri.
Deviens mienne, deviens mon apoplexie.
[Il date d'y a looontemps ce texte, je ne sais même plus ce qui me l'a inspiré...]
merci pour le passage et pour la franchise et merde pour la suite (ça a l'air bien rude ton truc...) ouais,ça m'irait bien de rencontrer un soliste hanté,genre guitariste erratique et de voir ce qui se passe...